Réponse au discours de réception de Philippe Pétain
publié le 22/01/1931 à 12h17 Le 22 janvier 1931 Paul VALÉRY Monsieur, À la mort de l’illustre Foch, il n’y eut aucun doute, ni parmi nous, ni dans le public, sur la personne qui dût ici prendre la place d’un tel chef. Vous fûtes élu dans nos esprits avant...